lundi 29 septembre 2014

14 - 14 de Silène Edgar et Paul Beorn


4ème de couverture :

A l'aube de la Grande Guerre...

Adrien et Hadrien ont treize ans et habitent tous les deux en Picardie. Ils ont les mêmes préoccupations : l'école, la famille, les filles...
Une seule chose les sépare : Adrien vit en 2014 et Hadrien vit en 1914. Grâce à une boîte aux lettres mystérieuse, les deux adolescents vont s'échanger du courrier et devenir amis.
Mais la Grande Guerre est sur le point d'éclater pour Hadrien et leur correspondance pourrait bien s'interrompre de façon dramatique...


Mon avis :

Un roman émouvant qui raconte la vie de deux adolescents qui ont deux vies opposées. Un vie à la campagne et l'autre en ville mais ce n'est pas ce qui les séparent. Non uniquement 100 ans !

Adrien est le garçon que l'on connait tous, il vit à notre époque, ses parents sont divorcés, sa mère l'exaspère, il a un téléphone, un ordinateur etc... Il n'est pas très à l'aise dans ses "baskets", il est surtout timide et très peu sur de lui. Des fois, il est même le souffre douleur d'un élève qui veut montrer qu'il est le meilleur avec la violence.

Hadrien, quant à lui, on le connais qu'à travers les récits de nos grand-parents, il vit dans une ferme, ils sont trois enfants, ce qui est peu pour cette époque, il doit aidé son père dans les travaux de la ferme. Les études passent au second plan car ce n'est pas la priorité à cette époque et la maladie fait des dégâts à cette époque où les familles n'avaient pas d'argent pour le médecins et pour des médicaments.

Ils vont correspondent sans se douter qu'il y a autant différence entre eux, mais par la suite ils vont comprendre et là le seul soucis d'Adrien est de prévenir Hadrien du drame imminent.
Va-t-il réussir à sauver son ami ?

Je ne m'attendais pas à ce que j'allais trouver dans ce livre, de l'insouciance au départ et une grande amitié et une entraide. On se rend compte que chacun à une vie différente mais avec leurs problèmes propres.

J'ai dévoré ce livre en une journée et j'ai adoré.

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